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Pour la lire : facile, il vous suffit de la demander.
Le contexte de "quatre femmes attendent la star " : le monde du show-biz.
Un chanteur vieillissant, une star du gnangnan a trouvé un nouveau plan pour passer un bon moment avec des jeunes femmes : un concours offrant vingt-quatre heures avec l'idole dans son village du sud-ouest. Naturellement un concours truqué ou les lauréats sont quatre jeunes lauréates magnifiques.
Mais... Odette sera la vraie vedette, elle est la secrétaire de l’association organisatrice, elle est toujours un peu gaffeuse même à jeun, et elle aurait simplement dû accueillir les lauréates.
Leur arrivée fut programmée à la file indienne mais elle arrivent en avance et l’idole est en retard, finalement ne viendra pas, cloitré par sa femme ayant compris la manoeuvre.
Quatre femmes passeront donc une soirée ensemble, elles dresseront un portrait peu flatteur de cette idole vieillissante, du cher show biz tricolore et de leur vie. Cette pièce fera rire et réfléchir.
Avec Odette cette hôtesse d’accueil un peu loufoque, ayant la quarantaine et
les lauréates Alice, Brigitte et Diane, en pleine la trentaine resplendissante. , Carla aussi lauréate ne viendra pas non plus.
Voir pour le contexte show-biz oligarchie en France, site très instructif.
Quelques extraits :
Alice : - Oh ! La première guitare !
Odette : - C’est même pas vrai… (se reprenant) Oui, la première guitare de Frédérico (comme si elle
récitait) sur laquelle, seul dans son jardin, à l’ombre des figuiers, il a composé ses premiers succès.
Alice : - Je suis réaliste tendance Psychologies Magazine. Avec même un peu de Prozac quand ça
chauffe trop.
Odette, en les montrant : - Je te présente Alice et Brigitte, fait comme chez toi petite princesse, Frédéric
devrait être là mais j’ignore où il est… Demande des informations, raconte ton voyage, des blagues,
montrez-vous les photos de vos enfants, vos vacances, vos amants, Odette est débordée, déboussolée,
déprimée et Alice, au lieu de m’aider, mélange tout. Elle aurait dû s’appeler Zélie ! Je n’en peux plus !
(Odette prend dans une de ses poches une pilule, hésite) C’est un cas de force majeure, sinon je vais
péter un plomb ! (elle l’avale) Ha ! Je me sens déjà mieux ! Cool ! Le show-biz a quand même de bons
côtés !
Diane : - Donc on se tutoie, ça ne me dérange pas, puisque nous sommes dans le même bateau (Odette,
sans l’interrompre : « bureau pas bateau »), que nous avons toutes eu l’heureuse surprise de recevoir
une lettre, elle m’est arrivée le même jour que le mail de Momina m’annonçant quelque chose de
désagréable à m’annoncer. Désagréable, je ne m’étais pas inquiétée, elle m’écrivait toujours mon Amour.
- le 24 avril 2011 à 07 : 25
nous sommes 4 comédiennes !
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