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Faut-il encore, quand on se lance dans l'auto-édition, essayer d'être référencé en librairie ?
Les libraires ont choisi d'ignorer les écrivains indépendants. Ils ont travaillé durant des décennies avec les grands distributeurs.
Aujourd'hui ils ont peur de disparaître et voudraient travailler, peu importe avec qui presque... mais ils n'ont jamais mis en place de structures pour permettre aux écrivains indépendants d'être sur les tables de l'ensemble des librairies du pays.
La majorité des librairies sont condamnées à disparaître quand le livre numérique se vendra plus que le livre papier.
Alors, perdre son temps pour contacter des libraires avec l'incertitude d'être payé un jour ? (j'ai arrêté de travailler avec des libraires à cause des impayés)
Quant à contacter le distributeur du Groupe Hachette Livre pour être distribué ? Vous pouvez essayer mais le but d'un écrivain est de vivre de ses livres ! Les réseaux ne livres en papier furent réalisés pour exclure les auteurs-éditeurs et même les petites éditeurs : le choix de la vente directe du livre en papier et de la vente d'ebooks en direct et sur l'ensemble des plateformes numériques (sauf Numilog de chez Lagardère : voir l'essai de Ternoise sur le sujet) semble le bon.
- le 07 décembre 2011 à 13 : 24
par jeanne : l'idée ne m'est jamais venu de contacter le distributeur du Groupe Hachette Livre !
- le 24 novembre 2011 à 22 : 25
par Paul : comment être référencé sur Amazon est la bonne question.
- le 30 octobre 2011 à 11 : 01
par Précision : Comment vendre du livre en papier ? est une autre bonne question. Le site y répond dans la rubrique "la vente"
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