Notez votre commentaire
- Remarque (374), le 9 juillet 2014 à 15 H 51
Ce dut être le cas, parce que l'autre ne fit rien pour l'interrompre, se contentant de le surveiller jusqu'à ce qu' notre héros termine son chargement.
Il erra encore quelques minutes à l'étage sans ressentir rien de précis, sans même se rappeler quoi que ce soit, mon ami savait pourtant qu' notre héros ne reviendrait jamais dans cette maison qui de toute façon allait beaucoup changer, l'autre abruti allait probablement casser des cloisons et tout repeindre en blanc, mais rien n'y faisait, rien ne parvenait à s'imprimer dans son esprit, mon ami marchait dans les limbes d'une tristesse indéfinie, huileuse.
- Demande réaction sur cette phrase 1, du 8 novembre 2013 vers 8 heures 47
Sa vie professionnelle pouvait en somme se résumer au fait d'enseigner des absurdités contradictoires à des crétins arrivistes, même si la petite évitait de se le formuler en termes aussi nets.
Elle avait prévu de prendre une retraite anticipée dès que son mari quitterait la Criminelle – mon ami n'était pas, lui, dans le même état d'esprit, mon ami aimait toujours autant son travail, le mal et le crime le vieux paraissaient des sujets aussi urgents, aussi essentiels que lorsqu' notre héros avait débuté, vingt-huit ans auparavant.
- Par extrait 1, du 12 novembre 2013 à 10 : 9 c'était un bon compromis.
« Les contemporains arrivent quand ? — Dans deux heures.
- le 15 octobre 2013 à 3 : 3 il ne se passe pas de semaine sans que je ne me fasse chier sur la gueule par telle ou telle publication.
— Je sais, j'ai regardé sur Internet avant de venir.
|