Le
forum est devenu un lieu essentiel :
Auto-édition : exigence de qualité.
Dans tous les genres. On vous pardonnera moins qu'aux édités par les milliardaires.
Versant numérique.
Les vrais enjeux...
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Chaque auteur est en face d'un choix Historique : être ou non indépendant.
AUTO-EDITION.COM vous aide également à mieux comprendre la particularité de l'ebook.
Le site contient de très nombreuses pages d'informations.
Des documents existent également en livres
Liste des livres conseillés.
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La fin du livre papier ?
J'essaye pour chacun de mes livres, de fournir une offre en papier et une en numérique dans l'ensemble des formats utilisés. Ce n'est pas à l'auteur d'imposer une forme de support.
Avec un imprimeur aux tarifs décents, même en auto-édition, le livre papier est encore rentable.
Je ne recommande pas les sites qui fournissent une impression à la demande sans réseau de distribution...
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Vendre des livres...
Il faut essayer d'être présent "partout", sur l'ensemble des points de ventes où les indépendants sont acceptés... et proposer une vente directe... papier et numérique... Ce que je fais ici même !
Il existe une page avec les livres, dont l'ensemble des romans Accès.
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J'ai choisi de pratiquer des prix décents (vente directe mais également distribué sur Itunes, Amazon, Fnac, Kobo...)
Je vous encourage à alimenter l'offre légale d'ebooks à tarif décent.
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Comment devenir écrivain ?
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En 2010, un ouvrage auto-édité était remarqué dans la dernière sélection du prix Renaudot.
Marc-Edouard Nabe avait choisi de s'auto-éditer, de ne plus partager la part du gâteau avec le microcosme de l'édition.
Depuis plus d'une décennie j'invite des écrivains reconnus, comme Michel Houellebecq ou Philippe Djian, a claquer les portes de l'édition classique, a réaliser un séisme dans le monde de l'édition...
Auto-édition a ne pas confondre avec compte d'auteur, que depuis toujours je déconseille
(ce qui m'a même valu un procès... heureusement gagné !)
Stéphane, parfois encore écrivain.
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Auto-edition : une alternative à l'édition bloquée en France (et ailleurs !).
Un site militant avec les formalités gratuites pour être son propre éditeur.
Aide et conseils : expériences d'écrivains et devis gratuit imprimeur. La littérature en France peut être indépendante.
Formalités et démarches. Et même parfois : livres à gagner.
PEU EN VIVENT... Les médias "traditionnels", le plus souvent, les censurent. Par facilité ou destin lié à des organismes installés.
Etre indépendant exige une démarche professionnelle, cohérente, une attention extrême au fond et à la forme...
Vous aussi, soyez votre propre éditeur.
Pour cela, il suffit de respecter la légalité telle que décrite sur ce site.
Et trouver un BON IMPRIMEUR.
Pour vous y aider, je vous propose de
réaliser un
devis gratuit de l'imprimeur
(option supprimée en 2021, contact de l'imprimeur disparu depuis des années) qui imprimait mes livres PAPIER (oui, le papier existe encore !). Désormais j'utilise l'impression à la demande d'Amazon.
Vous pouvez aussi préférer ne plus fabriquer de livres en papier dos carré collé et vous
lancer dans le livre numérique.
Une suite naturelle de l'auto-édition historique.
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La pétition... non pas pour l'Affaire auto-édition.com
Le site peut revenir à l'Essentiel : l'auto-édition.
Alors, pour demander à
Michel Houellebecq de rejoindre l'auto-édition
(après son prix Goncourt il peut ainsi réaliser un séisme historique dans l'édition
)
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Pour des raisons "Historiques", de nombreux textes anciens demeurent sur cette page d'accueil.
Si vous les lisez, vous comprendrez pourquoi je n'y touche pas !
Tout ceci est de l'histoire ancienne mais c'est également avec de l'histoire ancienne que se comprend le présent.
Je ne suis pas né à l'auto-édition en 2012 !
L'essentiel du site est désormais regroupé par les liens que vous avez déjà vus...
Mais naturellement, si vous possédez patience et curiosité, n'hésitez pas à lire l'ensemble !
Stéphane Ternoise
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Pour l'HISTOIRE : aucune modification à l'AFFAIRE Publibook
(société pratiquant le compte d'auteur)
contre le webmaster de ce site indépendant préconisant et expliquant l'auto-édition.
L'ensemble des propos (autres que les commentaires sur le jugement naturellement) furent écrits avant le 7 décembre 2009.
Vous y trouverez des explications, parfois la colère, parfois l'indignation...
Cela vous permettra aussi de suivre ce que fut ma vie durant cette période.
Pour ceux qui ça intéresse !
Du fait de cette assignation au Tribunal de Grande Instance de Paris, cette page est encore plus brouillonne qu'avant... mais la vérité (ce qui fut) exige de n'y point toucher.
Ainsi l'Histoire pourra juger...
Juin 2009 : L'audience de plaidoirie est fixée au 15 juin.... Est-ce enfin la fin de cet HARCELEMENT JUDICIAIRE ?
Janvier 2009 : ça continue... le site aimerait bien pouvoir revenir à une présentation AUTO-EDITION et moi me
consacrer à la littérature... mais Publibook a demandé un délai à la justice... La prochaine audience est fixée au 9 mars 2009.
L'Histoire jugera aussi ? Un jour il faudra raconter. Un jour des universitaires se pencheront sûrement sur ce dossier...
Avril 2008 : PUBLIBOOK ne s'est TOUJOURS pas excusé et continue sa PROCEDURE en multipliant les mensonges - il a même voulu m'attribuer une phrase présente sur le forum d'un grand mensuel !
Puis que j'avais reconnu qu'elle était sur un de mes sites... alors qu'elle est sur le forum d'un grand mensuel (je l'ai donc fait constater par huissier - ils veulent me ruiner ?).
Pourquoi ces gens-là mentent ? Pourquoi cette procédure ? Qui est derrière cette procédure ?
J'ai confiance en la justice mais les médias semblent bizarrement regarder ailleurs...
Le "Petit Futé" aurait-il de nombreuses relations ?
Si vous aussi vous êtes scandalisé, indigné, réagissez, agissez !
J'écris car je suis indigné par le comportement de PUBLIBOOK.
Mais ils me font perdre du temps (et Sénèque n'aurait jamais signé avec eux !... je suis quand même le propriétaire de seneque.info donc je peux le faire parler...
je l'ai lu, messieurs de Publibook, et vous ? !)
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Ce site appartient désormais à l'Histoire du web :
Le 26 juin 2007 j'ai été assigné au Tribunal de Grande Instance de Paris,
suite à l'exigence de la suppression d'une page de ce site
(et l'une du webzine gratuit), par Publibook, société
réclamant ma condamnation au versement de 366 000 euros.
Le 7 septembre 2009 le Tribunal de Grande Instance de Paris a rendu son jugement.
Le 13 janvier 2010 un huissier de justice a signifié la décision à Publibook qui disposait d'un mois pour faire Appel.
Plus d'informations : résumé Affaire Publibook contre Ternoise
Stéphane Ternoise.
Vous pouvez Recevoir PAR MAIL ces formalités
de l'auto-édition où il est écrit NE PAYEZ JAMAIS UN EDITEUR...
(et c'est gratuit !
Le but du webmaster n'est pas de faire du fric sur les auteurs mais d'informer !
Même si l'information dérange des gens qui vivent de la naïveté des auteurs.)
Comment SOUTENIR - Plus d'informations (encore d'actualité après le jugement...
voir la perte financière)
J'avais noté en 2007 :
Je viens d'écrire un sketch sur cette affaire
(PUBLIBOOK veut mettre TERNOISE en prison, avec des oeufs...)
donc ça va mieux !...
(dimanche 8 juillet 2007)
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PUBLIBOOK « activité d'édition à compte d'auteur » réclame 360 000 euros de préjudice au webmaster indépendant de ce site indépendant
Je ne suis pas le premier à conseiller aux auteurs : NE SIGNEZ JAMAIS un contrat avec une société pratiquant le COMPTE D'AUTEUR.
Pourtant EDITIONS PUBLIBOOK m'attaque, exigea la suppression de toute critique du COMPTE D'AUTEUR. Enjeu : l'information.
Déconseiller EDITIONS PUBLIBOOK (comme les autres prestataires - j'ai juste parlé d'eux plus précisément car ils faisaient de la pub à la télé ce qu'aucun compte d'auteur n'avait fait avant eux) est un devoir de chroniqueur indépendant, chantre de l'auto-édition
(qui respecte les éditeurs qui versent des droits d'auteur et ne demandent pas un centime aux auteurs).
« NE PAYEZ JAMAIS UN EDITEUR » est le résumé fondamental de cette position.
EDITIONS PUBLIBOOK ne cache pas pratiquer le COMPTE D'AUTEUR. Alors comment pourrais-je conseiller EDITIONS PUBLIBOOK ?
Diffamation ? OU INFORMATION ?
Merci aux grands médias de se positionner sur le sujet. EDITIONS PUBLIBOOK attaquerait
Le Monde, MARIANNE, Le Nouvel Observateur, Charlie Hebdo, France-Inter, Le Point, L'Express,
Bernard Henry Lévy, PPDA,
Dominique NOGUEZ...
Loïc Le Meur... ?
Mercredi 25 juillet, un résumé :
Le monsieur Olivier Petot, de la société de compte d'auteur PUBLIBOOK, m'a d'abord envoyé des mails, dont le résumé le plus perspicace me semble « donne-moi ton blouson ou je te casse la gueule ».
Naturellement, plus policé, long, technique, truffé de faute d'orthographe et incohérences.
Je devais supprimer des pages qui avaient le tort d'être visibles via une recherche par GOOGLE ! Des pages où apparaissait PUBLIBOOK, qui n'a jamais contesté le moindre contenu mais elles devaient DISPARAITRE. Exigence du monsieur qui se voulait exigeant.
Naturellement, un droit de réponse leur était accordé comme l'écoute pour toute demande de modification : NON, les pages devaient DISPARAITRE.
Offenses, insultes à mon travail indépendant.
J'ai demandé une confirmation par lettre recommandée, tant les demandes étaient incohérentes. Oui, tout DOIT DISPARAITRE.
Et comme je n'ai pas donné mon blouson (comme je ne me suis pas agenouillé devant ces gens-là... il faut vous dire, que chez ces gens-là, on menace...) j'ai reçu une ASSIGNATION devant le Tribunal de Grande Instance de Paris avec réclamation de 366 000 euros.
L'assignation de Michel Houellebecq, à 190 000 euros, est pulvérisée.
Ces gens-là pensaient peut-être que j'allais aller pleurer à leur porte ? (tenez, v'la mon blouson, et ma chemise, mes chaussettes et le reste... - Traduction : et je vous fais de la pub, j'écris que PUBLIBOOK c'est mieux que GALLIMARD, que le compte d'auteur c'est génial...)
Pour la première fois de ma vie j'aurai un avocat.
Et j'espère que de nombreux journalistes, internautes, webmasters, vont se mobiliser.
Comme la diffamation est éteinte (les faits reprochés remontent à 2002 !), Publibook m'attaque en « dénigrement systématique ».
Tout le monde doit trembler devant des sociétés qui combattront l'information ?
Vendredi 13 juillet 2007... Quelqu'un a osé le "bon conseil" !!!... Je vous note (je ne lui ai pas répondu, quand même):
Il me semble que vous pourriez :
- Discuter avec Publibook, leur proposer de retirer leur plainte pourvu que vous ne mentionniez plus leur marque sur votre site,
- A l'horizon de quelques mois, reconstruire un site sur d'autres bases, qui combattra ce que vous dénoncez selon une autre approche sans doute encore plus efficace.
Couche-toi Ternoise ! Insulté par monsieur Olivier Petot, Directeur de la diffusion, Editions Publibook, il faudrait qu'ensuite je me couche ! C'est peut-être bien avec cette espérance que PUBLIBOOK m'a assigné !...
OUI, insulté par monsieur Olivier Petot (lisez ses mails à ce salarié adepte des fautes "d'hortografes" et des exigences)...
Offenses et insultes, que son exigence de supprimer des pages, donc sa négation de mon travail de chroniqueur, analyste, interviewer. Prié de s'humilier !
Exiger d'un écrivain, d'un critique qu'il s'humilie, c'est l'offenser, l'insulter.
Ce monsieur Olivier Petot, Editions Publibook, ne s'est pas encore excusé. Sa direction non plus. VIVRE DEBOUT chantait JACQUES BREL.
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Mi 2002, M. Jacques Boucher, Président Editions Publibook, avait reconnu (après une menace de procès) qu'il n'y avait aucune diffamation dans mes propos sur ce site (il ne m'avait envoyé aucune phrase relevant de la diffamation), que l'interview de M. François Akel pour le mensuel en ligne LE WEBZINE GRATUIT était une interview professionnelle, honnête, d'un auteur québécois en conflit avec son éditeur français. M. Jacques Boucher n'avait pas souhaité profiter de son droit de réponse.
Fin 2006, M. Olivier Petot, Directeur de la diffusion, Editions Publibook, a exigé la suppression
d'une page sur ce site et la suppression de la page avec l'interview sur lewebzinegratuit.com ! (qui plus est, ces pages ne concernent pas uniquement Publibook !)
Pourquoi le directeur de la diffusion exige la suppression d'informations quand le Président de la même société n'a quatre ans plus tôt su pointer aucune trace de toute diffamation, quand depuis quatre ans ces informations n'ont suscité aucun commentaire des Editions Publibook ?
J'ai d'abord cru à un canular. J'ai donc demandé une confirmation des exigences farfelues par lettre recommandée.
Mais non : il exigeait. Menaça même d'un « un courrier d'avocat. Première phase d'une procédure qui pourra aller plus loin. » .
S'il m'avait écrit poliment « telle phrase nous semble fausse, merci de bien vouloir la rectifier » , j'aurais naturellement regardé cette phrase avec attention. Mais non, il fallait SUPPRIMER TOUT : Editions Publibook déniait à mon travail tout droit d'exister ! J'ai ressenti cette exigence comme une insulte, un mépris, une tentative d'humiliation.
Si j'acceptais, Editions Publibook me demanderait quoi ensuite ? De faire leur pub ?
Editions Publibook souhaitait vouloir pouvoir affirmer « voyez comment le chantre de l'auto-édition, l'écrivain indépendant qui se dit de référence, s'est couché devant nous » ?
Parce que je vis à Montcuq je suis un sous-citoyen ? Qui n'a même pas le droit d'informer, d'analyser le compte d'auteur ?
Je ne me suis pas couché, prosterné devant M. Olivier Petot. Je n'ai jamais reçu de courrier d'avocat.
Mi 2007 : Editions Publibook veut donc m'envoyer en prison. Editions Publibook se présente bien en « activité d'édition à compte d'auteur » et demande au TRIBUNAL de GRANDE INSTANCE de Paris de me condamner à 360 000 euros de préjudice ! + 6000 euros de frais irrépétibles.
Je suis indigné, blessé, perturbé, je n'arrive plus à travailler au roman qui devait sortir en fin d'année.
Oui 360 000 euros de préjudice, obtenu après un calcul abracadabrant, qui m'attribuerait en quatre ans 570 contrats perdus (soit autant que les contrats signés après tracking GOOGLE... si j'ai bien compris !) « la valeur moyenne d'un contrat est de 316,31 euros HT soit une perte de chiffre d'affaires pour 570 contrat de 180.296 euros HT.
Ces 180.296 euros HT représentent une perte de marge nette pour l'entreprise » .
100% de marge ! (Publibook multiplie par deux pour obtenir les 360 000, au nom des bénéfices sur les livres !)
Ainsi, auteurs, sachez que le chiffre d'affaires est marge nette pour Editions Publibook.
J'ai toujours conseillé aux auteurs de s'interroger sur le travail fourni en contrepartie de tout paiement. Je conseille donc toujours aux auteurs de ne pas payer s'il n'y a aucun travail en contrepartie de leur paiement. C'est de la diffamation ?
Vendredi 29 juin, 3h30 (du matin, oui, je dors toujours très mal)
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DANGER, ATTAQUE sur la liberté d'expression. PUBLIBOOK attaque, veut envoyer en prison le webmaster de ce site
Tu faisais quoi, toi, quand ils ont limité le droit d'expression, le droit à l'information, sur internet ?
Je suis encore loin de la sérénité.
J'ai très mal dormi ! Rendez-vous à 11 heures au Tribunal de grande Instance de Cahors pour demander l'aide juridictionnelle.
Publibook se présente en activité d'édition à compte d'auteur et réclame
360 000 euros de préjudice !
+ 6000 euros de frais irrépétibles
Après un raisonnement que je considère abracadabrant.
Cette nuit je me suis demandé pourquoi ! Alors qu'il s'agit d'opinions (exprimées depuis des années d'ailleurs, acceptées par Publibook au temps de leur mise en ligne) et non de diffamations.
Comment peuvent penser ces gens-là ? Bon : ils semblent vivre pour le fric et ne pas respecter une liberté fondamentale en France : le droit d'expression.
Mais la méthode, elle, pourquoi ? Pourquoi cette haine, cette hargne ? Jusqu'à prétendre « le propos est parfois délirant »
- Ils espéraient qu'à la réception de cette procédure je tombe d'une crise cardiaque dans les bras de l'huissier ?
- Ils espèrent mon suicide ? Se sont renseignés ? Se sont dit son père s'est suicidé, s'il en fait de même, nous pourrons prospérer sans contrariété ?
- Ou tout simplement, Publibook sait que son concept peut prospérer uniquement si aucune information n'éclaire les internautes ?
Un harcèlement judiciaire pour décourager toute velléité d'information ?
(Publibook avait attaqué Le Calcre... et maintenant se prévaut d'être bien noté par Audace... publication de qui vous savez !)
Des informations, une opinion, et non de la diffamation !
NE PAYER JAMAIS UN EDITEUR est un slogan que je proclame depuis des années.
J'ai par ailleurs toujours accordé un Droit de Réponse à Publibook, je leur ai même proposé une INTERVIEW. Ils ont refusé : ils semblent désormais CONTRE L'INFORMATION. Après avoir reconnu mon statut de média, mon droit d'analyse, de critique !
PUBLIBOOK ne conteste aucune information mais exige la suppression de toute information !
Envie de vomir (maintenant, durant la saisie, 17 heures, ça va mieux !).
Significatif, je notais un jour :
Janvier 2008 : rien à voir avec Publibook :
ce site, comme la majorité des sites Ternoise est à vendre (il se peut même que je quitte la France)
Pour rappel :
Stéphane Ternoise : auteur-éditeur depuis 1991. Même pas Rmiste ! Vivant de sa profession libérale sans subvention ni aide sociale. Un smicard du livre mais indépendant.
Aussi auteur de chansons (mais au Burkina Faso, les droits sont encore en Francs CFA !)
Stéphane Ternoise ne peut pas être « un concurrent de Publibook » car il s'est toujours opposé à toute forme de compte d'auteur.
L'édition, c'est « un éditeur classique » (qui verse des droits d'auteurs sans avoir réclamé un centime à l'auteur) ou l'auto-édition.
366 000 euros, ça fait combien d'année de prison ?
"Je m'inquiète pour le jour où, dans 10 ou 15 ans, ma fille me demandera : Papa, tu faisais quoi quand ils ont censuré la liberté de la presse sur Internet ?"
s'exclamait déjà Mike Godwin voici quelques années
mercredi 27 juin 2007.
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AUTO-EDITION formalités (guide pratique)
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Auto-éditer un livre ce n'est pas se condamner à l'anonymat... comme les médias dits CLASSIQUES ouvrent difficilement leur porte aux auteurs auto-édités... je suis DEVENU MEDIA...
Naturellement, ma liberté de ton, mon indépendance, mes conseils peuvent déranger.
J'écris : ATTENTION... Arnaques...
j'écris : NE PAYEZ JAMAIS CERTAINS "EDITEURS" ou prestataires de Service...
PUBLIBOOK demande la suppression de cette page
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auto-edition .com :
Le site du contact direct écrivains lecteurs
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L'auto-édition est l'avenir de l'édition (Stéphane Ternoise, en 2002, page 50)
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Attention : des pages sur le web présentent l'auto-édition d'une manière inquiétante... parfois effrayante (fiscalité) souvent fausse (législation... nul besoin d'inscription à la chambre de commerce ni URL SARL ou SA...
l'auteur-éditeur peut simplement se déclarer TRAVAILLEUR INDEPENDANT... sans charges fixes URSAFF avant bénéfices !...) ; d'autres sites entretiennent la confusion avec le compte d'auteur (je dis NON sans ambiguïté à tout compte d'auteur).
Ce site vise à FAIRE LE POINT, vous donner LE PLUS D'INFORMATIONS POSSIBLES (mises à jour grâce à l'expérience de chacun)... après, si vous choisissez une autre voie... ne soyez pas surpris...
Totale Cohérence : ne payez jamais un éditeur ; si un éditeur vous propose de vous éditer en vous versant des droits d'auteur, accepter est compréhensible MAIS s'il vous demande de l'argent ou / et d'acheter vos propres livres, je vous déconseille d'accepter
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L'impression numérique permet d'être son propre éditeur sans risque financier...
Stéphane Ternoise a retenu un imprimeur... et imprime désormais chez lui... comme de nombreux auteurs...
Naturellement vous pouvez imprimer AILLEURS et présenter votre livre ici ! MAIS PROFITEZ DE SON DEVIS GRATUIT !... vous êtes déjà informés de la qualité !
Un espace PROFESSIONNEL vous permettra de gérer vos différentes demandes (quantités, format...)
L'inscription et les demandes de devis sont NATURELLEMENT GRATUITES...
ACCEDER à la demande devis gratuit
Décembre 2005 Absence surprenante ?
dans le DICTIONNAIRE CULTUEL en Langue Française d'Alain Rey, pourtant auto-édité par
Le Robert
page Lire, mars 2005 Quand Stéphane Ternoise et LIRE sur la même longueur d'onde !...
page ATTENTION aux PUB dans les journaux (pour le compte d'auteur)
L'auto-édition est victime des distorsions de concurrence :
Le point sur les subventions et la politique culturelle en France.
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Tout est GRATUIT... et en plus des livres OFFERTS
Seuls les salons du livre et la presse locale permettaient à l'auteur et aux lecteurs de se rencontrer... Grâce à Internet cette rencontre devient vraiment possible.
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IL EXISTE !!!
UN Média indépendant, gratuit, avec plus de 81 000 abonnés, qui parle des livres auto-édités :
Le Webzine Gratuit
(mais aussi, toujours sans langue de bois, de la chanson, de la politique, d'internet...)
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LIVRES A GAGNER
CLIQUEZ SUR COUVERTURE pour info et participation |
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Si vous envoyez 3 livres à : Jean-Luc Petit - BP 17 - 46800 MONTCUQ
(FRANCE)
ces livres seront offerts aux internautes. Et ainsi votre livre sera aussi présenté dans la partie *LIVRES OFFERTS* du site, et votre livre pourra faire l objet d une mise en valeur particulière...
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En France, qu'un écrivain vive de sa plume n'est pas dans la tradition ... les éditeurs, les distributeurs, vivent du travail de l'écrivain... et peu d'auteurs perçoivent des éditeurs classiques un revenu supérieur au SMIC... (l'écrivain vit d'une profession annexe, souvent journaliste, prof... ou retraité !)
Entre l'auteur et les lecteurs, de nombreux intermédiaires...
L'auto-édition, c'est l'auteur qui est son propre éditeur (parfois en passant par une association, le plus souvent en nom propre)...
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Toutes les formalités EN ACCES GRATUIT... J'avais payé 220 francs à une association pour obtenir 2 pages de formalités !!!... A une association des auteurs autoédités (évitez...)
PARTAGER LES EXPERIENCES EST LE MEILLEUR MOYEN DE CONTRIBUER AU DEVELOPPEMENT DE L'AUTO-EDITION...
Ayant Publié un guide de l'auto-édition, En 1998
Faire soi-même, être auteur-éditeur : les démarches
documentation d'aide à l'auto-édition de livres
2-9506158-4-8
LES INFORMATIONS DE CE SITE, SONT LA COPIE ACTUALISEE DE CE LIVRE
Copyright : Stéphane Ternoise
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